Le classique fait son cinéma
Un quatuor pas si classique pour vous enchanter
Que seraient « Les dents de la mer » sans les violons qui préviennent du danger ?
Que serait l’attaque des hélicoptères dans « Apocalypse now » sans la chevauchée des Walkyries ?
Loin d’être un simple faire-valoir des images, la musique est, au contraire, une vraie pièce maîtresse de la construction cinématographique. C’est pour cela que tant de réalisateurs, parmi les plus grands, ont choisi de puiser dans le répertoire de la musique classique pour illustrer leurs plus belles scènes de cinéma.
Zeste – Collectif lyrique et instrumental – a choisi de vous faire voyager à travers les musiques de cinéma : de Beethoven à Michel Legrand, de Haendel à Nino Rota, de Verdi à Ennio Morricone et tant d’autres…
Le concert est truffé de commentaires et d’anecdotes sur l’histoire de la musique au cinéma et le public peut s’amuser à deviner à quel film est associé telle musique. Il y a même un quizz !
Concert d’une durée d’1heure 30 environ divisible en 2 ou 3 parties. Nous pouvons aussi ne donner que des extraits. Nous pouvons également nous adapter à une demande particulière (inclure un ou plusieurs films).
Concert donné en quatuor : piano, violon, violoncelle et chant.
Simon SIAUD : piano, arrangements et direction musicale
Quentin VIGUIER : violon
Corinne GELET : violoncelle
Françoise DUPY : chant, lectures et conception du programme
Cavalleria rusticana
Opéra en un acte de Pietro Mascagni
L’Opéra
Cavalleria Rusticana (en français « Chevalerie campagnarde ») est un opéra en un acte composé par
Pietro Mascagni, sur un livret de Giovanni Targioni – Tarzetti et Guido Menasci, d’après la nouvelle éponyme
de Giovanni Verga.
On considère généralement cette œuvre comme le tout premier témoignage du mouvement vériste en
musique. Le vérisme a pris sa source en Italie, d’abord en littérature, avec comme chef de file l’écrivain
Giovanni Verga, puis dans l’opéra et même dans la peinture. Le vérisme se caractérise par la modestie
des personnages et de l’action (paysans, petits bourgeois, commerçants), par opposition, notamment
à l’univers grandiose de Wagner et ses mythologies idéalisées.
Résumé
C'est le matin de Pâques dans un village sicilien. Une jeune femme, triste et inquiète, Santuzza, est à la recherche de son amant, Turiddu, qui la trahie pour renouer avec Lola, son ancienne fiancée. Turiddu et Lola c'étaient aimés quand ils étaient plus jeunes, mais Turiddu est parti faire son service militaire, et Lola, lasse de l'attendre c'est mariée avec un homme du village, Alfio. Quand Turiddu est revenu au village, par depit, il c'est tourné vers Santuzza, à qui il a promis le mariage. Mais son amour pour Lola est irresistible ... Santuzza essaye vainement de reconquérir le cœur de son amant. Folle de jalousie, elle dénonce Lola et Turiddu à Alfio, le mari trompé. Dès lors, le destin de Turiddu est scellé. Alfio le provoque en duel. Apres avoir fait ses adieux à sa mère, il se rend au rendez-vous fatal.
Nos choix stylistiques
Nous avons décidé de placer l’opéra dans une totale intemporalité, l’universalité de l’histoire racontée, permettant facilement ce parti pris.
Ainsi, le décor sera figuré par une image projetée en fond de scène sur très grand écran. Mais au lieu d’utiliser une photo, nous allons commander une illustration originale en noir et blanc, qui figurera un village, avec sa place, son église et son café, le tout dans une esthétique de bande dessinée époque
« ligne claire ».
Les costumes n’évoqueront pas une époque particulière, mais permettront de symboliser de façon archétypale les différents caractères des personnages et le déroulé de l’action. Par exemple, les chœurs seront, au début de l’opéra, habillés de couleurs très vives : certains rouges de la tête au pied, d’autres jaunes, verts ou bleus. Ceci afin de rendre compte de l’allégresse générale propre à cette journée de fête. Puis, peu à peu, ils se changeront en noir, d’abord 2 ou 3, puis de plus en plus jusqu’à être tous vêtus de noir à la fin de l’opéra. Ainsi, le cancer du drame se répandra peu à peu.
Nous avons choisi également d’intégrer des danseurs contemporains à l’opéra. Les danseurs, au nombre de 4, seront les doubles des chanteurs et figureront, ensemble et tour à tour les 4 personnages principaux de l’action : Turiddu, Santuzza, Alfio et Lola. Les danseurs interviendront quand les chanteurs ne seront pas sur scène à 2 ou 3 endroits de l’opéra (ouverture et intermezzo, notamment). Les protagonistes du drame bénéficieront ainsi d’une double incarnation : par le mouvement dansé et par la voix.
Le dispositif
8 instrumentistes : piano, 2 violons, alto,
violoncelle, flûte, clarinette, orgue et cloches
Un choeur de 27 personnes
5 chanteurs solistes
4 danseurs contemporains
Les protagonistes du projet
Collectif Zeste
La compagnie Trajectoires Sensibles
L'Ensemble Bel Canto Muretain
La distribution
Solistes
Turidu : Frank Grimaud Ténor
Santuzza : Françoise Dupy Soprano
Alfio : Omar Hassan Baryton
Mamma Lucia : Florence Coppel Mezo-soprano
Lola : Marie-France Calmels Mezzo -soprano
Choeur
Ensemble Bel Canto Muretain
Instrumentistes
Piano : Simon Siaud
Orgue et cloches : Clothilde Sabatié & Delphine Puglièse
Violon 1 : Quentin Viguier
Violon 2 : Jady Moreira
Alto : Ophelie Renard
Violoncelle : Corinne Gelet
Flûte : Fernando Uehara
Clarinette : Tristan Ferrou
Danseurs
Anne Munschi
Christian Cremades
David Mazon Fierro
Delphine Lafoix
Equipe projet
Direction artistique : Françoise Dupy
Direction musicale, chef de chant et arrangements : Simon Siaud
Mise en scène et scénographie : Françoise Dupy
Chorégraphie : Delphine Lafoix
Direction de choeur : Clothilde Sabatie
Communication : Cécile Bousquet
Costumes : Caroline Laroche
Illustration graphisme : Geraldine Petit
Lumiere et régie : Wahnee Bigelot
Vertiges
Un Homme ... Une Femme ...
Ils se rencontrent, se désirent, se cherchent et se repoussent, ils s’aiment et se haïssent, se trahissent et se jalousent. Et puis, comme le dit la chanson : « Les histoires d’amour finissent mal… en général ! »
Tout se passe sous le regard innocent et espiègle d’un Cupidon qui les suit, ombre légère et lumineuse de leurs amours tumultueuses.
Dans son univers parallèle, fantasque et désuet, le Narrateur donne vie à ses rêves d’amour les plus fous, que sa réalité étriquée ne lui permettra jamais de connaître.
Un spectacle lyrique servi par deux voix puissantes et chaudes sur les plus belles pages de duos d’opéra : l’Amico Fritz, Manon, Otello, Tristan et Iseult, La ville morte, Tosca, Un bal masqué, Cavalleria Rusticana et Paillasse.
Un spectacle d’une grande intensité émotionnelle qui laissera le public haletant et pantois, vaincu mais heureux d’avoir été ainsi bousculé par les Vertiges de l’Amour !
L'invitation au voyage
Un voyage onirique, le texte poétique et la musique, intimement tissés transportent le public dans un monde fait de rêve et de beauté.
Par une froide journée de novembre, Léonard s'ennuie dans sa petite chambre. Sur les ailes de la musique, son esprit vagabonde vers de lointaines contrées : l'Europe Centrale, le Moyen Orient, l’Extrême Orient, l'Espagne, l'Amérique du Sud. Il y rencontre des femmes magnifiques qui le guident sur son chemin.
Ce voyage onirique et immobile devient pour Léonard un véritable parcours initiatique. Il connaîtra la solitude, la difficulté mais aussi et surtout l'émerveillement de la découverte.
Ce conte est l'occasion d'explorer des musiques splendides, évocatrices des pays traversés.
Brahms, Smetana, Saint-Saëns, Bizet, Puccini, De Falla, Piazzola, et bien d'autres compositeurs, sont au programme.
Concert d’une durée d’1heure 30 environ en deux parties et quatre tableaux :
-
Vents d'Est
-
Parfums d'Orient
-
La cavalière Andalouse
-
Transatlantique
Un violon, un violoncelle, un piano, et une voix.
Sur une idée originale et un texte de Françoise Dupy
Chant, lecture : Françoise Dupy
Piano et arrangements musicaux : Simon Siaud
Violon : Quentin Viguier
Violoncelle : Corinne Gelet
Courrier sud
Un voyage musical et dansé suivant le parcours de l'Aéropostale
De l’Espagne à l’Argentine, en passant par le Maghreb, le Sénégal et le Brésil, vous pourrez vous immerger dans les ambiances sonores des pays traversés. Des danses emblématiques des années 20 (charleston, slow fox-trot, tango argentin) amènent un esprit festif au programme. Enfin, la lecture d’extraits d’œuvres de Jean Mermoz, Joseph Kessel et Antoine de Saint Exupéry vient jalonner ce parcours et raconter cette grande histoire, faite de dépassement de soi, d’enthousiasme et aussi de drames.
Spectacle d’une durée d’1heure 15 environ pouvant être donné, soit en une seule fois, soit en 3 fois. Six artistes se partagent la scène :
- Un pianiste
- Un violoniste
- Une violoncelliste
- Une chanteuse, récitante
- Deux danseurs
Le tout en costume d’époque.
Simon SIAUD : piano, arrangements et direction musicale
Quentin VIGUIER : violon
Corinne GELET : violoncelle
Françoise DUPY : chant, lectures et conception du programme
Elisa GINER : danseuse
Christian CREMADES : danseur
Natura, le chant de la terre
Au commencement était la nature...
Parfois grandiose, furieuse et dangereuse, parfois douce et généreuse. L’Homme lui doit tout : l’air qu’il respire, l’eau qu’il boit, les fruits qu’il savoure, les herbes qui le guérissent, le bois pour se chauffer, les grottes pour s’abriter.
Plongé dans cette Mère Nature, l’Homme l’observa, l’admira mais malheureusement aussi l’exploita.
Il écouta les bruits de la nature et il inventa la musique : le sifflement du merle devint flûte, le bruissement du vent dans les arbres devint violon, le vent tempétueux des montagnes devint trompette, le tonnerre se fit percussion.
NATURA c’est une fable poétique qui raconte l'histoire de la relation de l'Homme et de la Nature, une relation parfois douce, parfois amère.
NATURA ce sont des bandes-son de bruits de la nature (oiseaux, vent, pluie, insectes) et de l'homme (foule, ville, cris d'enfants).
NATURA ce sont des morceaux de musique classique sur le thème de la nature interprétées par 4 artistes : un pianiste, une violoncelliste, un violoniste et une chanteuse - narratrice.
NATURA c'est la projection de photos sur très grand écran (5x3).
Le spectacle dure 1h15 sans entracte.
Sur une idée originale et un texte de Françoise Dupy
Chant, lecture : Françoise Dupy
Piano et arrangements musicaux : Simon Siaud
Violon : Quentin Viguier ou Nathalie Boullanger
Violoncelle : Corinne Gelet ou Svetlana Legros